mercredi 10 septembre 2008

Le Tunnel (1948)


Récit existentialiste glacé, sans la moindre longueur ni la moindre complaisance, d’un « drame de la jalousie ». À la fois réflexion sur la solitude de l'artiste et sur l'incapacité de son personnage à communiquer, à comprendre le monde contemporain. Ce livre est aussi une touchante mise en écriture de la passion amoureuse, lucide et cruelle. Le Tunnel, premier roman de cet écrivain argentin, nous conduit, par-delà le bien et le mal, jusqu’au cœur de nos passions. Du fond de sa prison, le peintre Juan Pablo Castel écrit la confession d’un crime qu’il a commis. Il a tué Maria Iribarne Hunter, une femme dont il a fait la connaissance au Salon de Printemps où il exposait plusieurs toiles. Il avait alors remarqué l’attention que cette inconnue portait à l’une de ses peintures. Peu de temps après, il l’avait abordée dans les rues de Buenos Aires. Et elle était devenue sa maîtresse. Mais Maria Iribarne échappe sans cesse à Castel qui s’enfonce de plus en plus dans le "tunnel" de son amour, de sa solitude et de sa jalousie. Jusqu’au meurtre. Écrit par l’un des écrivains les plus importants d’Amérique latine, Le Tunnel a été salué dés sa parution en 1948 comme un chef-d’œuvre par Albert Camus et Graham Greene. Cet ouvrage lui assura une renommée internationale.

Résumé par Pascale Arguedas.

4 commentaires:

eradloff a dit…

Question? Est-ce que c’est normal de ressentir un peu de compassion pour Juan Pablo Castel?

Anonyme a dit…

À mon avis, Le Tunnel est un des meilleurs livres qu'on a lu à l'école. Je trouve le personnage de Castel très interessant et ses habitudes anormales me motivent à m'avancer dans ma lecture.

Anonyme a dit…

Je n'ai pas grand chose a dire a propos de ce livre, car je ne l'ai pas encore lu...Par contre, il m'intrigue beaucoup. c'est un livre qui a comme theme principal la jalousie et d'aborder ce sentiment lorsqu'on est au secondaire est approprie car jen suis sure que beaucoup de filles ressentent la jalousie durant la periode d'adolescence.

Anonyme a dit…

À première vue du roman, je dois dire que je n'étais pas très motivée à lire Le Tunnel et je me disais que l'année, en français, commençait mal avec un roman comme celui-ci. Cependant, en rentrant dans l'histoire, on s'attachait aux personnages et l'intrigue nous faisait continuer à lire le livre. Je ne pouvais même plus m'arrêter! Dommage qu'on ne lit pas la suite de la trilogie durant l'année parce que je désire connaître ce qui va se passer par après!